Ballet au cinéma : La Belle au bois Dormant

En 2006, la mise en scène d’origine fut remise au goût du jour et depuis, elle enchante les spectateurs. Frederick Ashton a dit très justement du classicisme pur du ballet du 19e siècle de Marius Petipa que c’était « une leçon d’art de la chorégraphie aérienne ». Laissez-vous emporter par la musique enchanteresse de Tchaïkovski et les somptueux décors de conte de fées d’Oliver Messel en contemplant ce véritable joyau du répertoire du ballet classique L’histoire : A l'occasion du baptême de la princesse Aurore, toutes les fées du royaume sont conviées et lui offrent des dons tels que la beauté, la générosité et la grâce. L'horrible fée Carabosse, furieuse de ne pas avoir été invitée au baptême, interrompt la fête et jette alors une malédiction sur la princesse Aurore : le jour de ses 16 ans, elle se piquera au doigt et en mourra. Heureusement, la Fée des lilas n'avait pas encore offert son don à la princesse. Ne pouvant pas contrer les pouvoirs, trop puissants, de Carabosse, elle annonce que la princesse se piquera le doigt, certes, mais qu'elle ne mourra pas : elle sera plongée dans un profond sommeil de cent ans et sera réveillée par le baiser d'un prince… Chorégraphie Frederick Ashton, Anthony Dowell et Christopher Wheeldon d’après Marius Petipa Musique : Piotr Ilitch Tchaïkovski Direction musicale : Koen Kessels Distribution : Les danseurs et le Corps de Ballet du Royal Ballet
Publié le 28/04/2023